Le projet de loi, initi\’ee par l\’Assembl\’ee l\’egislative du kra»i du Primorie, un retour `a la «propri\’et\’e collective» de la marque, n\’e en Union sovi\’etique, a \’et\’e admis `a la Douma d\’Etat de Russie. Le service de presse de l\’AP PC. Marques sovi\’etiques, tels que «Alenka», «\’Ecureuils», «Ours dans le nord» et offre «Kara-Kum» pour faire plus disponible. Les d\’eveloppeurs du document — Les d\’eput\’es c^oti`eres veulent modifier le Code civil, le taux du scrutin, qui a fonctionn\’e jusqu\’en 2007. Selon elle, pour un fabricant qui produit les produits sous marques sovi\’etiques jusqu\’en 1992 a conserv\’e le droit de poursuivre l\’utilisation gratuite de ces marques. Son initiative de motiver les auteurs du projet de loi ont pour arr^eter querelles judiciaires entre les entrepreneurs russes qui fournissent des litiges multi-ann\’ee plus le droit d\’utiliser des marques bien connues qui offrent chacune aux autres poursuites de plusieurs millions de dollars. «Apr`es l\’abolition de la loi f\’ed\’erale sur les producteurs russes sont en litige constant entre eux, — a d\’eclar\’e le vice-Valery PC AP Kahn. — L\’essence de la revendication est l\’arr^et imm\’ediat de la production de produits sous les marques de commerce d\’autres usines qui sont `a plusieurs reprises mis en avant des exigences pour la r\’ecup\’eration de plusieurs millions de roubles «. Maintenant, par exemple, la soci\’et\’e «proc`es Mer confiseur» est due `a l\’utilisation des marques sovi\’etiques avec la tenue «United confiseurs», ce qui n\’ecessite plus de 7 millions de roubles pour la violation des droits exclusifs sur les marques anciennes. `A l\’\’epoque sovi\’etique, tous les confiseries \’etaient publiques, travaillant aux m^emes normes et la production de chocolat et bonbons, semblable en port\’ee et en recettes rappellent les d\’eput\’es dans l\’expos\’e des motifs du projet de loi. Les noms de produits peuvent ^etre enregistr\’es par la soci\’et\’e m`ere ou le nom du d\’eveloppeur. Mais dans le contexte de la p\’enurie mondiale et le manque de concurrence r\’eelle dans les marques de besoin, en tant que telle, n\’\’etait pas. Apr`es l\’effondrement de l\’Union sovi\’etique ont commenc\’e `a prendre de la production au secteur priv\’e, et les marques populaires sont apparus une fois titulaires. Dans ce cas, continu\’e d\’agir normale, ce qui a permis aux fabricants de produire sous des marques sovi\’etiques pr\’ec\’edents, utilisent librement `a l\’avenir. Elimin\’e seulement en 2007 pour combler une lacune pour les entreprises \’etrang`eres, l\’acquisition des anciennes entreprises sovi\’etiques avaient droit incontr^ol\’ee et libre d\’utiliser comme le monde des marques c\’el`ebres. Maintenant d\’eput\’es tentent d\’obtenir tout retour `a la normale. RIA «VladNews» ont dit `a maintes reprises sur l\’histoire du «lait d\’oiseau», dont la recette a \’et\’e \’elabor\’ee `a Vladivostok. Maintenant, la question est que «Primkonu» en tant que d\’eveloppeur de recettes uniques, en fait interdit d\’\’emettre des «oiseaux» sous l\’ancien nom. La liste des noms interdits m^eme eu la possibilit\’e de «Birdie baln\’eaire.» Mettant de c^ot\’e combien gagnent leurs «marques sovi\’etiques», «les g\’eants de chocolat», la situation devient \’etrange: les entreprises r\’egionales qui paient des imp^ots aux budgets locaux et cr\’eent des emplois pour les populations locales qui se trouvent dans une situation d\’elicate, \’evidemment. Cette situation a n\’ecessit\’e l\’intervention des \’elus locaux, qui, `a son tour, a fait appel au l\’egislateur f\’ed\’eral et plus encore. Dans le sujet. Les journalistes «Rossiyskaya Gazeta», par exemple, ont r\’ecemment d\’ecouvert que le probl`eme de l\’utilisation des marques sovi\’etiques n\’est pas seulement dans notre pays mais aussi dans l\’espace de l\’Union douani`ere. Les experts ont recens\’e des centaines de semblable ou similaire `a une marque de commerce, les porteurs inscrits `a la Russie, le Kazakhstan et la Bi\’elorussie. Et quelque chose devait ^etre fait. Comme l\’un des moyens de sortir de cette situation qui envisagent la possibilit\’e de convertir des marques locales dans le collectif. Mais ce n\’est qu\’une id\’ee qui n\’a pas officialis\’e sur le papier.
Ivan le Terrible, RIA «VladNews»