Dieu est avec elle, avec промокашкой — elle vraiment une chose du pass\’e. Mais, bien s^ur, beaucoup plus de gens aujourd\’hui pr\’ef`erent lire des livres papier, et non \’electroniques, les journaux traditionnels, et non pas de leur version sur les sites. Si faire une enqu^ete, alors c\’est s^ur, c\’est le cas. L\’autre jour, un fils abasourdi: achet\’e un livre sur le marketing de 10 mille. «Et le t\’el\’echarger sur Internet ne peut ^etre \’etait-ce?» Il s\’av`ere impossible. Et parce que ce livre est tr`es int\’eress\’e, a d^u d\’ebourser. Versions papier recherch\’es apr`es les livres maintenant g\’en\’eralement appr\’eci\’es cher. Les signes de la fin de ce m^eme pas vu. Encore une fois sur le nom du fils vient r\’eguli`erement un journal que lance l\’une des entreprises de r\’eparation d\’automobiles de Vladivostok. Un jour, il a profit\’e de ses services, et maintenant, elle ne cesse de rappeler dans notre maison sur vous-m^eme. Dans le journal de quelques pages avec assez d\’informations int\’eressantes sur le monde de l\’automobile, elle se multiplie sur le photocopieur, est envoy\’e dans la grande enveloppe par la poste — tintouin clairement en manque pas. Toutefois, la soci\’et\’e ne veut pas se limiter `a de la publicit\’e sur Internet. Il semble, de papier «chemin» vers le coeur et le portefeuille client se justifie pas. Ne le parle pas d\’ej`a parle des brochures et des d\’epliants promotionnels, печатающиеся des tonnes et r\’eguli`erement d\’eroulant sur plusieurs pi`eces de bo^ites aux lettres, il n\’\’etait pas encore sorti de la p\’eriode. Et les journaux et magazines, qui viennent dans la maison de l\’abonnement, ou achet\’es dans le commerce de d\’etail? Sur les appels et les messages dans notre \’edition constamment convaincu: tr`es nombreux sont les lecteurs qui ont encore besoin d\’traditionnelle de la version papier des publications. Ils sont activement r\’epondent `a des publications int\’eressantes et d\’eclar\’ees par nous des actions, adressent leurs questions et leurs probl`emes, se consid`erent comme membres d\’une esp`ece de distance en club de lecture. Et vraiment dire au revoir avec le papier exactement ne vont pas. Un de vivant `a c^ot\’e de moi familles d\’elivrance, comme `a l\’\’epoque sovi\’etique, est d\’environ une douzaine de journaux et de magazines. En r\’eponse `a ma grande surprise, les \’epoux ont expliqu\’e: «Nous sommes habitu\’es `a ^etre au courant. Et maintenant, `a la retraite, ce n\’est plus envie de plonger dans le vide et le reste de la vie». Dites, qu\’`a la jeunesse de cette \’equipe d\’evou\’ee de l\’amour `a des journaux n\’a rien `a faire? Eh bien, pourquoi? Les jeunes passent aussi `a l\’int\’er^et de leur publication (fils de, par exemple, pour lui ach`ete r\’eguli`erement le magazine «Forbes», de la femme — «Forbes women», a connaissance d\’une jeune institutrice r\’edige le journal, «Vladivostok», dans lequel se trouve beaucoup d\’informations utiles sur la vie de la ville). Spectacle de Гришковца impressionnant \’emotionnel de ferveur — tu ne discuteras pas ici. Il donne `a r\’efl\’echir et de ne pas accepter dans la fen^etre principale. Le papier n\’est pas enracin\’ee dans le pass\’e, elle acquiert une qualit\’e nouvelle et une nouvelle vie.
L\’espoir Бражина, «Vladivostok»